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24 août 2018 5 24 /08 /août /2018 09:50
Melehfa
Melehfa
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Collection de robes chaouies à la vente ou à la location, pour êrte la plus belle pour aller danser

Possibilité de création personnelle sue demande

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23 août 2018 4 23 /08 /août /2018 06:01

 

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26 mai 2016 4 26 /05 /mai /2016 07:27
Exposition "art et culture tachawit"
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15 septembre 2014 1 15 /09 /septembre /2014 07:28

algerie.jpgProchain voyage solidaire et culturel dans les aurès du 3 octobre au 3 novembre 2014

Vos dons sont les bienvenus

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31 mars 2014 1 31 /03 /mars /2014 20:15

Prochain voyage solidaire et culturel dans les aurès du 14 avril au 12 mai. Nous allons de nouveau aider les orphelins de t kout. Vos dons sont les bienvenus

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23 mai 2013 4 23 /05 /mai /2013 08:00

«A l’heure actuelle, dans notre pays, une femme qui écrit vaut son pesant de poudre.». Telle est la précieuse caution du grand écrivain, Kateb Yacine, préfaçant l’auteure du roman, La Grotte éclatée,  publié en 1979, aux éditions ENAG, Yamina Mechakra.

mechakra.jpgElle était médecin psychiatre, mais elle suivra une trajectoire littéralement littéraire. Elle était l’auteure mythique d’une œuvre majuscule, La Grotte éclatée, parue aux éditions ENAG, en 1979. Son nom sonne et claque. Yamina Mechakra. Elle est décédée dimanche, à l’issue d’une longue maladie. Elle avait 64 ans. Elle avait un adjuvant, une étoile qui brillait sur elle. Kateb Yacine ! Le père de Nedjma !
Il avait alors révéré et souligné le talent d’une écrivaine. La citation de Kateb Yacine, à l’endroit de Yamina Mechaka est significative et éloquente. Et surtout, elle demeure et reste actuelle.

Car pas du tout anachronique. Une caution littéraire lourde de sens et sans ambages saluant un talent, un courage, un combat, un défi, une condition, une sensibilité, un cri et l’écrit d’une femme s’étant insurgée,  rebellée contre la logique belliqueuse, génocidaire et mortifère du colonialisme français, et ce, dans son roman historique, La Grotte éclatée.

«Ce n’est pas un roman. C’est beaucoup mieux». «Démystification de l’homme. S’affranchir du mythe de la mort. L’homme n’est que matière vivante. Une fois mort, il redevient terre. Ces mots tirés de son livre (Yamina Mechakra). L’un des plus prometteurs de la nouvelle littérature algérienne. Un long poème en prose qui peut se lire comme un roman…», consignera Kateb Yacine dans la préface de La Grotte éclatée. Yamina Mechakra couche, au courant de sa plume, un verbe cursif fluide, tourmenté, torturé, écorché vif, et puis d’une immense justesse des mots «bleus».

Sa couleur poétique et onirique. Un trait littéraire exhalant l’humus natal, son terroir, sa terre, son pays, sa patrie, l’Algérie. «Je me dis tout bas mon pays et ma maison, ma grotte et ma peine… Je foulais avec douceur la terre brûlante de mon pays… J’arrachais une motte de terre.

Je l’emporterai avec moi à Arris. Je la déposerai dans une jarre et j’y planterai des marguerites…», écrit-elle dans la Grotte éclatée. Une déclaration et une déclamation pour son giron natal de Meskiana, des cimes d’ Arris, des Aurès. Terre des enfants de Kahina !

Elle a vu son père se faire torturer et mourir…

Yamina Mechakra laisse paraître et transparaître une lancinante douleur, une meurtrissure. Dans sa tendre enfance, elle a vu un homme écartelé sur un canon d’un char de l’armée française, exposé dans la rue, Elle a vu son père se faire torturer. Elle l’a vu mourir en lui recommandant de garder la tête haute… «Pour moi, Yamina Mechakra, est une grande figure de la littérature algérienne.
C’est la ‘‘Nedjma’’ au féminin ! C’est l’une des rares auteures saluées par Kateb Yacine. Elle n’a jamais été honorée de son vivant. C’est quelqu’un de profondément déçu par le milieu intellectuel et par le monde de l’édition aussi bien étatique que privé. Yamina Mechakra, c’est un éclair dans le ciel de la littérature. Et on n’en fait plus des Yamina Mechakra, hormis Mayssa Bey.

La Grotte éclatée, un roman-clé dans la littérature algérienne. Je suis profondément, triste et abasourdi par sa disparition» , témoignera Youcef Sayah, le critique littéraire (Papier bavard et Expression Livre, émissions radio et TV).  Yamina Mechakra a été adaptée au théâtre à maintes reprises, notamment par Sid Ahmed Ben Aïssa, au Théâtre national algérien.
«Aujourd’hui que l’insurrection de l’Aurès enfante sous nos yeux une Algérie nouvelle, il faut lire et faire lire ce livre (La Grotte éclatée),

pour qu’il y en ait d’autres et pour que d’autres élèvent la voix. A l’heure actuelle, dans notre pays, une femme qui écrit vaut son pesant de poudre (pas d’or dans la préface)», avait ponctué alors, Kateb Yacine, la préface de La Grotte éclatée .  Nedjma brille toujours sur Yamina Mechakra ! Une lueur d’espoir !

K. Smail
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15 avril 2013 1 15 /04 /avril /2013 02:27
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29 novembre 2012 4 29 /11 /novembre /2012 17:43

Z.jpgactuellement en voyage solidaire et culturel dans les aurès contact :05 54 65 47 74

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29 novembre 2012 4 29 /11 /novembre /2012 17:38

portrait-amazigh-1.jpgDepuis les années soixante, nos programmes scolaires et nos médias focalisent l’attention et l’intérêt des Amazighs sur la cause, la langue, l’histoire, la religion, la culture et la civilisation des arabes et font même d’eux nos ancêtres à la manière dont les colons français faisaient des gaulois les ancêtres des algériens. Ils occultent tout ce qui nous appartient de propre et contrôlent de près chacun d’entre nous. Rien n’est laissé au hasard. Un Amazigh est plus sensible, par son éducation arabe et islamique acquise, à ce qui se passe à Gasa qu’au Nord Mali, juste à la porte de sa maison , chez ses sœurs et frères de sang Touaregs que les arabes, les occidentaux et les africains noirs vont bientôt exterminer ou faire de nouveau soumettre au régime noir raciste et chien de garde de la France coloniale d’hier et d’aujourd’hui sous prétexte de combattre les terroristes d’Aqmi, d’Al qaida et d’Ansan eddine qui ne sont en réalité que des soldats algériens ou marocains en civil et des mercenaires de tous bords financés par les pays du Golf , y compris des traitres amazighs touaregs, car c’est difficile de faire admettre qu’ils veulent en réalité tuer dans l’œuf le jeune Etat laïc amazigh des Touaregs d’Azawad . C’est extrêmement dangereux pour la France coloniale et les régimes arabes des pays de l’Afrique du Nord qui dominent les amazighs majoritaires par la force des armes et leur sinistre religion. Les régions amazighes sont laissées exprès pour compte pour obliger les habitants à l’immigration ou à l’exode vers les bidonvilles où ils sont obligatoirement arabisés et orientalisés au point où , à partir déjà de la deuxième génération, certains perdent complètement leur identité. Un ami qui a immigré en Allemagne dans les années cinquante s’est marié avec une Allemande et a eu avec elle un garçon et une fille. Il est resté en Allemagne jusqu’à sa retraite où il a laissé sa femme et ses enfants devenus adultes et allemands. Il a trimé toute sa vie pour élever ses enfants auxquels il a même ajouté un neveu devenu juge en Allemagne et pour construire une énorme maison avec plusieurs appartements, une véritable pyramide où il vit seul, face à lui-même comme un naufragé sur une île déserte . Il entretient aussi la vieille maison de ses parents et de son enfance également vide. Je lui ai toujours répété que moi aussi, qui n’ai jamais quitté mon pays et qui me suis toujours attaché à mon village où j’ai construit la maison de mes rêves , je me sens exactement comme lui. Je suis obligé de garder mon appartement de location en ville car au moment où je trimais pour construire une belle maison pour mes enfants et moi-même pour mes vieux jours sur la terre sacrée de mes ancêtres , je croyais que l’Etat que je supposais être le mien , allait me suivre et construire les infrastructures nécessaires pour nous rendre la vie agréable . Je ne savais pas qu’en tant qu’amazigh, j’avais seulement le devoir de travailler pour le bien être des arabes , de payer des impôts et de sacrifier ma vie s’il le faut pour défendre « mon » pays. En tant qu’Amazigh , je n’ai aucun droit et je ne suis pas un citoyen ni même un sujet au même titre qu’un marocain arabe victime de l’erreur historique de mes ancêtres qui se sont convertis successivement au judaïsme, au christianisme et à L’Islam. Nous sommes tous trahis par les anciens et les nouveaux colons. Les français et les arabes à leur suite ont placé exprès les routes et les grands projets loin des tribus amazighes qui ont résisté à la colonisation . Ils ont encouragé exprès l’exode et l’immigration des amazighs pour les diluer dans des communautés arabes et européennes. Les descendants arabisés des Amazighs sont nos pires ennemis. Nos fanatiques amazighs sont pires que les juifs, les chrétiens et les musulmans. Quand un amazigh demande de l’aide à un juif, à un chrétien ou à un musulman, la première condition qu’il lui impose c’est de se convertir à sa religion différente en apparence mais appartenant toutes aux descendants d’Abraham l’inventeur du dieu unique, source de tous les malheurs de l’Humanité depuis des siècles et encore de nos jours . Les Amazighs sont désormais divisés en trois groupes : 1/a)Il y a celles et ceux pour qui profitent le colonialisme et la dictature riches ou pauvres , un notable commerçant ou un talb qui maîtrise la langue arabe et adopte la religion de l’occupant. b)Il y a celles et ceux majoritaires qui sont handicapés par l’analphabétisme, la misère et la répression et réduits irréversiblement au stade animal. 2/Il y a celles et ceux qui préconisent de militer pour la cause amazighe d’une manière démocratique de l’intérieur, dans sa famille, son travail , les associations, les syndicats, les organisations non gouvernementales, les communes , le parlement et le gouvernement. C’est ce que nous avons fait en vain pour ma génération depuis l’indépendance de nos pays respectifs. Les Amazighs qui ont immigré en Europe ont réussi à gravir les échelons et à faire connaitre et imposer leur identité et culture amazighes. Malheureusement, la maudite religion des colons arabo-musulmans de l’Afrique du Nord les a vite rattrapés et stigmatisés aux yeux des occidentaux en les mettant dans le même panier que les arabes terroristes. 3/Il y a celles et ceux qui préconisent désormais la lutte armée à la manière des Kurdes et des Basques pour leur libération tout en laissant la porte ouverte aux négociations pour l’établissement d’une constitution par une assemblée constituante qui garantit le port d’armes comme nos ancêtres, la vraie garantie de l’application et du respect de cette constitution . Si nos parents portaient des couteaux, « koumiya » amazighe , ce n’était pas pour le décor mais pour leur défense. Nous avons le droit de porter comme eux les armes modernes de notre temps en femmes et hommes libres et civilisés. Ce sont les dictateurs qui désarment le peuple et le réduisent à un seul individu inculte, impuissant, maîtrisable et corvéable à merci. Partout où il y a de vraies démocraties, le port d’arme est autorisé. On peut distinguer l’amazighité inconsciente de la majorité droguée par l'ignorance , la religion des occupants successifs ou la misère et l’oppression et l’amazighité consciente et vigilante d’une minorité instruite et résistante au lavage des cerveaux et au dressage que lui ont fait subir les occupants successifs pendant des siècles. Personnellement, je suis pour la résistance armée où nous pouvons compter uniquement sur les progressistes et les libres penseurs de l’Occident et sur les pays en dehors de l’empire des religions monothéistes juive, chrétienne et musulmane sans distinction unies malgré les apparences par le dieu unique de leur ancêtre commun Abraham le juif . Auteur: Mohammed Hifad Date : 2012-11-18 20:53:00

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23 novembre 2011 3 23 /11 /novembre /2011 09:07

aures vivre la terre chaouie

''c'est la parole des hommes et des femmes d'une région, tout simplement du peuple chaoui, qui se défend contre l'oubli d'une Algérie ingrate, pour la pérennité”

 

 

Liberte

 

 

RENCONTRE À BATNA À L’OCCASION DE LA SORTIE DU BEAU LIVRE, “LES AURÈS, VIVRE LA TERRE CHAOUIE”
Une translation de la mémoire
Par : B. Boumaïla

 

Ce recueil de témoignage d'hommes et de femmes et de photographies fait découvrir une des plus belles régions d’Algérie, envoûtante et riche par son histoire, sa diversité biologique, ses richesses naturelles et historiques.

Les Aurès, vivre sur la terre chaouie est l’intitulé du beau livre qui vient de paraître aux éditions Chihab, en partenariat avec l’association les Amis de Medghassen. Cet ouvrage de 310 pages est une invitation à la visite de panorama majestueux de la région des Aurès, ainsi qu’à la découverte de l’histoire, grandiose, du peuple chaoui.

Les Aurès, vivre la terre chaouie est un recueil de témoignages d'hommes et de femmes, qui se mobilisent pour faire découvrir une des plus belles régions d’Algérie, envoûtante et riche par son histoire, sa diversité biologique, ses richesses naturelles et historiques. Le livre est également composé de photographies signés Kays Djillali et de témoignages d’une bonne cinquantaine de citoyens des Aurès, qui narrent le parcours du peuple chaoui, son histoire, ses origines. Présenté et dédicacé la journée du samedi, 9 juillet 2011, l'après-midi, à 16h, à la maison de la culture Mohamed-Laïd-Al-Khelifa de la ville de Batna, la rencontre a été animée par les auteurs de cet ouvrage : Nadia Bouseloua, Azeddine Guerfi, Rachid Mokhtari, Philippe Tiriez et par le photographe Kays Djillali.

Prenant la parole, Guerfi Azzeddine, l'un des concepteurs de cet ouvrage et directeur des éditions Chihab, explique que ce livre est venu d’une idée qui consiste à “amener le lecteur à la découverte de la région à travers un regard singulier, vivant, humain et actuel”. Et d’ajouter : “Ce livre se veut à la fois un guide et un apport documentaire en informations historiques, géographiques et culturelles, et son contenu repose essentiellement sur des rencontres avec les femmes et les hommes qui y vivent, portent sa mémoire, en s'inspirant dans leurs créations.” Par ailleurs, Les Aurès, vivre la terre chaouie est composé d’entretiens, de portraits, de biographies, de chronologies, de notices, de propos marquants et des plus beaux extraits de textes consacrés à cette région ainsi que les précisions scientifiques concernant son passé lointain ou contemporain.

En plus des beaux paysages, qu'ils renferment, “le livre donne pour la première fois dans un travail entrepris dans une région d'Algérie, la parole à celles et à ceux qui par leur regard de l'intérieur, transmettent une émotion, un attachement, une fierté d'y appartenir et d'y vivre”, souligne M. Guerfi. Dans la même perspective, Rachid Mokhtari (universitaire, journaliste et écrivain), qui est un autre concepteur de ce beau-livre, a estimé que “ce livre n'est pas une carte postale, ce n'est pas un document touristique, un ouvrage de paysages, mais beaucoup plus, c'est la parole des hommes et des femmes d'une région, tout simplement du peuple chaoui, qui se défend contre l'oubli, pour la pérennité”.

L'écrivaine Nadia Bouseloua, qui a contribué aussi à l'enrichissement de ce document, a signalé : “Parole d'honneur, il est lourd, mais ce qu'il contient est plus important que tout ce poids.” La conception ou la réalisation des Aurès, vivre la terre chaouie a pris à ces concepteurs une durée temporale de 48 mois. La bibliothèque des Aurès s'est enrichie d'un excellent document.

Les Aurès, vivre la terre chaouie. Beau livre (textes et photographies). 310 pages. Éditions Chihab. 3500 DA.

 

 

 

http://iflisen2008.over-blog.com/article-sortie-du-beau-livre-les-aures-vivre-la-terre-chaouie-79098372.html

 

http://youtube/2I96s7SfC04

http://iflisen2008.over-blog.com/article-sortie-du-beau-livre-les-aures-vivre-la-terre-chaouie-79098372.html

 

http://youtu.be/2I96s7SfC04

 

 

 

 

 

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Présentation D'a.k.t

  • : Association Auressienne Kahina Tamazight
  • : Association pour la promotion de la culture tachawit et la sauvegarde du patrimoine auressien, solidarité avec le peuple
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  • Dyhia
  • Présidente de l'association Auressienne Kahina Tamazight, pour la promotion de la culture berbère chawie en france et dans les aurès
  • Présidente de l'association Auressienne Kahina Tamazight, pour la promotion de la culture berbère chawie en france et dans les aurès

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